Surf Annual n°13 - Beachbrother Magazine

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Beachbrother a été le premier magazine gratuit consacré aux boardsports, avant de prendre la vague du numérique pour devenir la plateforme de référence du surf, skate, snowboard en France. Tous les ans, Beachbrother renoue avec le papier à travers le Surf Annual, un numéro collector grand format de 150 pages

Beachbrother a été le premier magazine gratuit consacré aux boardsports, avant de prendre la vague du numérique pour devenir la plateforme de référence du surf, skate, snowboard en France. Tous les ans, Beachbrother renoue avec le papier à travers le Surf Annual, un numéro collector grand format de 150 pages.

BEACHBROTHER SURF ANNUAL

2019 – N.13

 

Avec ce Surf Annual 2019, Beachbrother continue d’explorer le surf à la marge, ceux pour qui le monde de la compétition et les gros dollars n’ont que peu de rapport avec leur passion.

 

Découvrez des surfeurs atypiques qui ont su tracer leur propre voie : Torren Martyn, l’artisan du renouveau des twin-fins – Jules Lepecheux, à 16 ans, il fait l’admiration des meilleurs longboardeurs internationaux – Eric Huffman, le curateur d’un musée vivant consacré à des planches de toutes époques – Jaleesa Vincent, une jeune punkette australienne à l’énergie contagieuse.

 

L’image est à l’honneur également dans ce Surf Annual 2019, avec la présence de signatures internationales telles que Todd Glaser, alors que le photographe américain dévoile une facette cachée de son travail au fil d’une galerie de portraits en N&B. Faites-vous des frissons également en voyageant en Sibérie et dans les Highlands écossais : des trésors cachés protégés des foules par un froid extrême.

 

Fidèle à l’esprit Beachbrother, ce numéro braque également les projecteurs sur les beautiful losers du monde du surf, à commencer par l’incroyable saga d’une bande de narco-trafiquants brésiliens à Bali, mais aussi sur des parodies qui mettent à mal l’ego des surfeurs.

 

Le Surf Annual continue également de mettre son grain de sel dans les rouages trop bien huilés du politiquement correct. À savoir la chronique du désastre annoncé qu’est la présence du surf aux Jeux Olympiques, ou encore la dérive capitaliste des surfeurs dans leur « consommation » des vagues.

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